Virus…Tout était déjà bien prévu…

Des extraits du livre « l’insoupçonnable destin de Gina Sutton – Itinéraire au cœur du gouvernement mondial. » , pages 133 à 135 et pages 182 et 183, qui montrent que tout était déjà prévu… Livre de Anne Givaudan, aux Éditions SOIS, paru en Février 2017.


L’histoire vraie d’une femme aux prises avec ses propres fantômes, et avec les êtres bien concrets qui manipulent notre monde. Ce livre a initialement été publié sous le titre : “Ils voulaient un garçon”.

Gina a un don qui va bouleverser sa vie, l’entraîner de Dunkerque à Rome, de Kaboul à New York et la mettre en contact avec les plus hautes personnalités officielles et surtout non officielles de la planète. Sa quête d’identité va se trouver mêlée à des enjeux stratégiques mondiaux où la manipulation est reine. Gina se trouve alors confrontée à deux forces qui s’opposent et qui l’amèneront à choisir son camp. Ce choix est aussi une guérison et une réconciliation avec son histoire de vie.

https://www.infosois.fr/home/10-l-insoupconnable-destin-de-gina-sutton-9782916621647.html


Voici les Extraits , source : https://sois.fr/fileadmin/pdf/pdf_2019-2020/Gina_extraits.pdf.

« Les humains, le petit peuple, fait des enfants au rythme des lapins et cela est très important pour l’équilibre écologique de notre planète. »

Le ton n’était pas méprisant, juste neutre, comme s’il s’agissait d’une statistique inéluctable.

« Si encore, ils étaient éduqués, mais c’est loin d’être le cas. vous voyez vous-même combien les hommes et les femmes, sans parler des enfants, jettent leurs détritus n’importe où sauf dans les contenants adéquats et prévus pour cela. »

J’étais atterrée. Eux étaient les Élus, ceux qui savaient comment se conduire, comment préserver l’écologie planétaire et ils considéraient « les autres » comme des parasites qu’il fallait éliminer.

« Je comprends où vous voulez en venir » l’homme à l’accent allemand essaya d’intervenir, mais la femme au visage en lame de couteau lui coupa la parole : « Ralph, si je te suis bien, tu nous proposes de trouver une solution pour supprimer une grande majorité de ces “parasites” planétaires. Soit ils coûtent à l’économie parce qu’ils ne travaillent pas ou plus, soit ils se multiplient trop rapidement ? » Ralph acquiesça tandis que je m’enfonçai dans mon siège en espérant une intervention divine.

L’intervention arriva enfin. Elle ne venait pas de DIEU mais sans doute était-il l’un de ses envoyés : « Pensez vous subvenir à tous vos besoins si vous seuls restez sur cette planète ? Tout ce que fait ce peuple, le ferez-vous ? Et plus encore, vous qui croyez en un DIEU, quels comptes aurez-vous à rendre lorsque vous vous présenterez devant lui ? »

L’homme qui n’était pas de la Terre venait de prendre la parole et je sentis qu’il adaptait son discours aux nécessités du moment.

<< Nous avons tout prévu, rétorqua un petit homme brun qui s’était tu jusqu’à présent. Nous éradiquerons uniquement les populations les plus faibles et celles qui posent problèmes ou qui se trouvent sur des territoires riches en minerai ou en pétrole. Les autres continueront à servir comme elles l’ont toujours fait. Les leaders de leur milieu ne sont que des marionnettes que nous utilisons au gré des besoins de la planète. Les idéalistes sont faciles à manipuler et ils assassinent volontiers s’ils croient que c’est pour le bien de leur humanité. Les autres sont achetables et pervertis. L’argent, les honneurs et le sexe sont nos armes les plus efficaces. Quel est celui qui peut y résister? Je mets au défi chacun de vous… >>

<<– Et quels moyens pensez-vous employer pour en arriver à ce résultat ? » L’être avait repris la parole.

Ralph riait à gorge déployée, comme s’il s’agissait d’une plaisanterie d’étudiant: « Ne soit pas ridicule, nos moyens sont multiples : les guerres nous rapportent et contribuent à nos plans ainsi que les virus, les vaccins. Nous tenons tous les laboratoires de la planète ; que veux-tu de plus ? Sans parler des recherches avancées qui nous permettent d’être en contact avec d’autres êtres de diverses planètes et de changer les climats, et par conséquent l’économie selon nos objectifs.

– Soyons brefs et concis, ajouta la femme au regard bleu acier, nous préparons une offensive qui devrait cette fois nous donner toute satisfaction. »

J’étais tout ouïe en espérant que cette femme, l’une des plus riches du monde, allait enfin dévoiler le point suivant, mais rien ne vint et je crus comprendre qu’à ce point de la conversation, rien ne serait révélé en ma présence. Un sentiment d’impuissance m’envahissait peu à peu. Je connaissais bien cet état d’être qui me faisait courber l’échine tandis qu’intérieurement tout en moi explosait. Dans ces instants, je me détestais autant que je haïssais le monde, et plus précisément ceux qui m’entouraient.

C’est alors que je croisai le regard de l’être d’ailleurs et je lus dans ses yeux que rien n’était joué. Je lisais comme dans un livre ce qui y était inscrit. Ses yeux disaient que l’Amour engloberait tout, qu’il s’immiscerait dans tous les interstices et que personne ne pourrait y échapper. Le virus de la beauté et de la joie allait gagner la terre et chacun de nous serait contaminé par celui-ci, bien plus que par n’importe quelle guerre bactériologique… Ses yeux racontaient les guerres d’autrefois et l’étroitesse de nos histoires mais aussi le potentiel et la lumière qui nous habitaient tous et qui feraient que nous allions participer à cette épopée. …./…..

« Nous sommes une centaine à tenir ainsi votre monde, mais croyez-vous que ce soient les plus connus parmi nous qui détiennent le véritable pouvoir ? Ce ne sont pas les Rockfeller, les Rotschild, les Bush ou autres célébrités qui tirent les ficelles absolues. Non, au dessus de nous, il existe des êtres aux visages et aux noms multiples auxquels nous sommes alliés. Notre puissance est grande, la leur est incommensurable et nous les admirons. Le mouvement nazi, instauré par eux, n’est pas mort. Il a simplement pris d’autres formes et d’autres visages. Il est plus actif que jamais! Nous avons plusieurs atouts indéniables sur vous mais le plus essentiel est sans aucun doute celui-ci… »

Il attendit quelques instants, savourant l’effet de surprise qu’il créait sur moi. Cependant, les intonations de sa voix ne changeaient guère, quel que soit le sujet abordé. Seuls les mots auraient pu me laisser deviner une quelconque émotion mais, comme il me l’avait dit, elles semblaient absentes de son fonctionnement.

« Nous sommes unis quoi qu’il arrive, continua-t-il, nous avons le même objectif et des idéaux qui se ressemblent. Nous ne perdons pas de temps, comme vous le faites, à chercher la faille chez l’autre et le pouvoir pour nous seuls. Nous connaissons trop bien les lois qui dirigent la Terre et au-delà de tout, nous n’avons pas peur de perdre car nous avons une foi sans faille en notre pouvoir. Dans vos milieux, en disant cela, il semblait peser ses mots, même les plus idéalistes aiment à penser que ce en quoi ils croient est la vérité. Ils condescendent,bien sûr, à écouter les autres mais, dès qu’ils font partie d’un mouvement quel qu’il soit, ils éprouvent ce sentiment, parfois peu visible mais bien présent, de “supériorité”.

Cette division vous affaiblit car vous avez peu d’estime pour ce que vous ne connaissez pas ou qui vous est différent. vous croyez être fidèles à une idéologie alors que vous êtes simplement habités par la peur d’avancer par vous-mêmes. Quant aux autres, les plus matérialistes d’entre vous, ils ne pensent qu’en terme de profit. vous avez oublié le plaisir d’aimer ce que vous faites. Quant à nous, nous l’avons tous, sans exception et ne serait-ce que pour cela, nous vous sommes bien supérieurs. » Fin de l’extrait.


Raphaël, avec le Cœur et bon courage à tous !! Le Samedi 04 Juillet 2020.

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