VAISSEAUX SPATIAUX : LA LEÇON DE PILOTAGE PAR THOR HAN LE PLÉADIEN

Le Galactique THOR HAN des Pléiades, nous explique comment sont pilotés les vaisseaux spatiaux. Article basé sur le texte des pages 363 à 366 du livre LE DON DES ÉTOILES, GUIDE DES MONDES EXTRA-TERRESTRES : DE ELENA DANAAN paru en 2020.

Thor Han est un pilote expérimenté, patrouillant au-dessus de la Terre, travaillant sur la grille magnétique ou secourant les abductés. Ce qui suit sont des informations qu’il m’a données et autorisées à publier. Je lui laisse donc la parole ou plus exactement, la plume:

Pour commencer, la composition de la couche externe de la coque de nos navires qui est en contact avec l’environnement extérieur est un composé d’un métal que vous ne trouvez pas sur Terra; c’est une matière organique sensible aux changements de densité et qui peut être comparée à une intelligence bio-synthétique non consciente. Il existe un vide dans la structure du navire entre cette couche organique externe de la coque, et une couche interne non organique composant la structure solide. La forme de la couche externe se modifie temporairement pour s’adapter à la densité environnementale, ce qui permet des déplacements spatiaux et inter-dimensionnels. Ce matériau possède une mémoire morphique, ce qui signifie qu’il reprend sa forme originelle instantanément dès que la contrainte du décalage de fréquence est relâchée. La coque agit comme un bouclier, non seulement contre les particules de toutes tailles mais aussi contre les ondes de choc des changements de densités. Elle fait ainsi office de tampon entre la fréquence vibratoire à l’extérieur et à l’intérieur du navire.

Nous voyageons généralement à travers des raccourcis inter-dimensionnels, mais il existe de nombreuses façons de passer d’un point à un autre dans ce multivers. Les deux autres méthodes de navigation les plus courantes sont l’écho-résonance (ce que vous appelez la résonance quantique et vous semblerait identique à la téléportation) ou soit par la conscience. En ce qui concerne cette dernière, certaines espèces peuvent le faire naturellement tandis que d’autres ont besoin d’un appareil implanté dans leur tête, en liaison avec le système de navigation du navire. Avec la technologie que j’utilise dans le vaisseau que tu connais bien, les coordonnées de destination sont définies puis verrouillées. Nous appliquons ensuite la paume de nos mains sur les deux commandes hexagonales de chaque côté du siège.

On peut alors sélectionner le système de propulsion, transdimensionnel ou extracontinuum. Une fois proche de la destination, la navigation est relayée au moteur central. Le noyau, ou moteur central, est un module cylindrique composé principalement de plasma ionisé, qui alimente la motricité du vaisseau pour la navigation manuelle à courte distance. Il est situé dans un espace cylindrique au centre du navire, et cette substance alimente tous les systèmes de survie et de logistique, tels que le recyclage de l’air, l’ouverture des portes, les lumières, la mécanique des rampes d’accès et diverses machines, le poste médical, etc. Pour les voyages longue distance, nous pouvons également utiliser l’énergie disponible partout dans le continuum spatial que nous appelons le Phryll [*Vril ou Mashmak du temps de l’Atlantide], en créant un nuage ionisé autour du navire.

En parlant de nuage, cela me rappelle de mentionner le camouflage. Il existe deux façons différentes de camoufler un vaisseau, qui sont couramment utilisées par différentes races. L’un utilise soit le réarrangement des particules (tout comme le changement de forme moléculaire), soit la réflexion des particules (reflétant ce qui se trouve de l’autre côté du navire), et l’autre fonctionne en modifiant la fréquence environnant le vaisseau en un nuage vibratoire qui transmutera le véhicule dans une densité différente. Dans ce dernier cas, si cela est effectué dans certaines atmosphères humides, il se créera une condensation autour du vaisseau sous la forme d’un nuage.

J’ai également évoqué le terme de «téléportation», qui peut amener à vous interroger sur le transport des formes de vie entre un vaisseau en orbite et le sol, car c’est une question qui nous est souvent posée. Eh bien, là encore je connais deux manières. Ce processus peut être réalisée par écho-résonance, qui est un transfert moléculaire quantique qui dématérialise une molécule pour la rematérialiser à de nouvelles coordonnées. Cela ne nécessite aucun faisceau de transfert comme vous semblez souvent le croire. Le fameux faisceau lumineux dont vous êtes témoin comme employé pour les abductions est un faisceau antigraviton composé d’un champ de fréquence dense, c’est pourquoi la paralysie est souvent un effet secondaire dans le transport. Transfert: écho-résonance (téléportation). Transport: faisceau antigraviton.

Cela s’applique à la majorité des techniques employées au sein de la Fédération Galactique des Mondes, mais la grande diversité des techniques disponibles dans le Multivers n’y est bien sûr pas cantonnée. Certaines espèces utilisent ces mêmes techniques améliorées à un niveau supérieur, par exemple je connais la navigation par conscience à distance, qui peut être opérée aussi loin que d’une galaxie à une autre. Certaines espèces (ce n’est pas le cas pour la mienne) ont leurs engins connectés à la fréquence émise par leur corps et leur signature génétique, donc aucune autre espèce ne peut les faire fonctionner. Leurs vaisseaux sont entièrement faits de matière organique utilisant une technologie basée sur la conscience. Ces vaisseaux particuliers sont fabriqués dans l’espace, à travers des harmoniques et des fréquences. La vie est infusée dans le navire et animée par intelligence artificielle, la conscience ou dans certains cas, les deux.

L’engin devient une entité vivante et correspond à la signature de fréquence de la propre conscience du pilote. Ces vaisseaux peuvent avoir de nombreuses formes différentes, telles que plus fréquemment des sphères, des ovoïdes ou des discoïdes, mais il existe également d’autres embarcations qui sont inter-dimensionnelles et peuvent changer de forme, sans altérer l’atmosphère intérieure du navire et de ses occupants. Ceux- ci apparaissent sous forme de lumière pure ou de motifs translucides géométriques tels que des losanges, des sphères ou des merkabas, et peuvent modifier leur structure atomique pour devenir solides. Ils peuvent passer instantanément d’une dimension à une autre, ou d’un point du Multivers à un autre. Ils ont leur propre atmosphère et gravité qui ne sont pas altérées par le changement de forme ou de dimension, et cette technologie leur permet de se déplacer extrêmement rapidement et de changer de direction à angles vifs sans répercussion tangible dans l’habitat de l’engin, qui est maintenu dans une capsule dimensionnelle holographique stable. Bien sûr, comme ces engins-là sont pilotés avec une résonance de conscience, vous n’y trouverez aucun panneau de commande.

La conscience met en place l’intention de destination mais nous n’avons pas encore parlé du «carburant» qui alimente le navire. La conscience pilote le vaisseau, mais la véritable alimentation est le Phryll, la force de vie universelle récoltée présente partout dans le Multivers. Ces moyens de déplacement sont considérés comme les plus avancés.

Il y a aussi le voyage éthérique, le décalage de fréquence, la dynamique géométrique ou la distorsion temporelle. Le temps, tel que vous le percevez de manière linéaire, est une illusion sensorielle liée à votre plan dimensionnel d’incarnation. Le temps, en vérité, est sphérique. Vous pouvez accéder à n’importe quel point à partir de n’importe quel point. Il n’y a ni «avant»>, ni «<après», il n’y a que «maintenant».

LA CONSTELLATION DES PLÉIADES


[*] Nous avons rajouté certains commentaires entre crochets et des images dans le texte, excepté celui sur le “mind navigation”.

Source : LE DON DES ÉTOILES, GUIDE DES MONDES EXTRA-TERRESTRES : LE LIVRE INCONTOURNABLE DE ELENA DANAAN

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