

La priorité absolue qui guide les actions des forces armées russes dans le cadre de l’opération est d’éviter les pertes civiles.
À cette fin, des armes de haute précision sont utilisées pour détruire de manière sélective et précise les infrastructures militaires de l’Ukraine, les équipements et les armes, les dépôts de munitions et le matériel des troupes. Dès les premiers jours de l’opération, la planification de toute action mettait un accent particulier sur la réduction des dommages causés aux infrastructures civiles et sur la préservation des vies des civils ukrainiens.
Les forces armées russes ne frappent pas les infrastructures civiles y compris des ponts sur les rivières. 127 ponts ont été détruits dans la zone des hostilités. Tous ont été sapés par les nationalistes ukrainiens pour endiguer l’offensive des troupes russes.
Un autre exemple de la déraison de la partie ukrainienne est le minage des approches des ports d’Odessa, d’Otchakov, de Tchernomorsk et de Ioujni, où plus de 400 mines de types obsolètes ont été posées. Au moins 10 mines ont rompu leurs amarres et dérivent dans la partie occidentale de la mer Noire, constituant ainsi une réelle menace tant pour les navires de guerre et que les navires civils.
La distribution massive et incontrôlée par le régime ukrainien de dizaines de milliers d’armes légères à la population civile, y compris à des criminels libérés de prison, a provoqué une flambée de banditisme, de pillages et saccages, ainsi que des morts parmi les civils.
Le déroulement des hostilités, ainsi que les témoignages des civils sortis des localités bloquées et des militaires ukrainiens capturés laissent comprendre que la capacité de résistance des forces armées ukrainiennes repose aujourd’hui sur la crainte de représailles de la part des néonazis, les représentants de ces derniers étant infiltrés dans toutes les unités militaires.
Les formations nationalistes telles qu'”Azov”, “Aïdar”, “Praviy sector ” et autres, classées en Russie parmi les organisations terroristes, constituent un bastion du régime de Kiev. Rien qu’à Marioupol, ils comptent plus de 7 000 combattants qui font la guerre en se protégeant derrière les civils, en les utilisant comme boucliers humains.


Les combattants du bataillon “Azov” chassent les femmes et les enfants des sous-sols sous la menace des armes et les poussent dans la direction de l’offensive des unités de la milice populaire de la République populaire de Donetsk pour entraver l’avancée de celle-ci. C’est devenu une pratique courante pour eux.
L’opération militaire spéciale lancée par les forces armées russes le 24 février dernier a déjoué une offensive de grande envergure préparée par les forces ukrainiennes contre les Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk. Cela a permis de sauver des dizaines, voire des centaines de milliers de civils dans le Donbass, que le régime de Kiev avait méthodiquement abattus à l’aide de l’artillerie de gros calibre et des missiles au cours des huit dernières années, acculant les personnes âgées, les femmes et les enfants dans les sous-sols.
Source :
–https://france.mid.ru/upload/iblock/070/eicbfub61s891d7gdswccsr0e5jl25lr.pdf
